Mohammad Reza Kabirnia Doctorant en arts visuels, Université de Strasbourg (ancien membre doctorant ; arrêt de la thèse)

Parcours professionnel

     Mohammad Reza Kabirnia est un plasticien-chercheur et mène une thèse en arts visuels sous la direction de Michel Demange à l'Université de Strasbourg. Intitulé Réminiscence de la violence et représentation artistique, ce travail de recherche s'appuie sur une pratique personnelle de dessins, de peintures, d’installations et de de création d'objets, en représentant l'aspect symbolique et sémiologique de la violence. Sa démarche de recherche est interdisciplinaire. Il emprunte à la philosophie, à la sociologie et à la science politique pour développer sa théorie. Il est par ailleurs titulaire d'un diplôme de Master en arts plastiques parcours recherche de l'Université de Strasbourg ainsi que d'une Licence de peinture de l'Université de Soureh à Shiraz en Iran. Après sa Licence, il a poursuivi des cours d'histoire de l'art et d'analyse/d'études des courants artistiques et philosophiques contemporains à Téhéran en Iran.

    Après avoir enseigné la peinture et le dessin en L1, L2 et L3 à l'Université de Jahad-Daneshgahi à Shiraz (Iran ; de 2002 à 2003), des cours d’histoires d’arts et des fondements des arts plastiques et du design à l’Ecole Technique de Mashahir à Shiraz (Iran ; de 2003 à 2005), les techniques d'enseignements d'arts visuels pour les enfants et les adolescents à l'Université de Jahad-Daneshgahi Rasht (Iran ; en 2006), le dessin en L1 à la Faculté des Arts de l'Université de Strasbourg (de 2016 à 2017), il sera enseignera le dessin et la pratique des arts plastiques à la Faculté des Arts de l'Université de Strasbourg de 2019 à 2020. Par ailleurs il est intervenu à l'Ecole européenne de Strasbourg en animant un atelier spécial pour les enfants autistes et hyperactifs de 2015 à 2019.

Thèmes de recherche

  • La Réminiscence de la violence : provoquer une prise de conscience par un individu de la violence subie et donnée, au moyen d'un objet artistique ; tout le monde serait alternativement victime et bourreau : vouloir figurer un individu ou une personnalité reviendrait à dessiner cette violence intrinsèque