Maxime Favard est designer et maître de conférences en design à l'Université de Strasbourg. Ses travaux s’appuient sur les études historiques et critiques du design et concernent en particulier le design et l’industrie dans le contexte de l’Anthropocène. Il enseigne de la licence au master design à l’Université de Strasbourg et intervient aussi au sein de DSAA et DNSEP en France. Ses activités d’enseignement concernent l’initiation à la recherche (de la méthodologie fondamentale à la direction des mémoires), le suivi de diplômes (en atelier), les cours magistraux en histoire et théories du design.
Maxime Favard a publié ses recherches aux éditions L’Harmattan, Hermann, Mimésis, Presses Universitaires de France, Presses de l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne notamment. En 2019, il a été récompensé par le Fonds d'amorçage de la Fondation de l'Université Jean Monnet Saint-Étienne pour un projet associant apprentissage profond et design. En 2021, il a co-dirigé la publication de l'ouvrage MàJ. Design, environnements techniques et pratiques exploratoires (éditions de la Cité du design Saint-Étienne – Ésadse, 2021) avec Gwenaëlle Bertrand et David-Olivier Lartigaud, ainsi qu'un dossier thématique sur le design et l'industrie à l'ère de l'Anthropocène avec Gwenaëlle Bertrand pour la Revue en ligne Design, Arts, Médias, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne.
Plus récemment (2023), il a été lauréat de l’appel à projet du réseau national des MSH pour le projet pluridisciplinaire EHCT : « Type versus Standard : vers de nouvelles composantes en design. Etude historique et critique du type dans le contexte du design des transitions (1914-2024) ». Cette recherche a fait l’objet d’une publication fondatrice : Gwenaëlle BERTRAND et Maxime FAVARD, « “Typen’’: maître-mot du design industriel », dans Catherine Chomarat-Ruiz (dir.), Traduction et Design, MSH Paris Nord et Paris 1 Panthéon Sorbonne, Revue Appareil, 2022.