Marie Heyd Les représentations de la mort dans la création artistique actuelle : histoire, contextualisation, comparaisons

En bref

 

Le 10 avril 2015
à 14h00

Palais universitaire (université de Strasbourg)
9 place de l'Université, 67000 Strasbourg
salle 19

Entrée libre

 

     Marie HEYD soutient le vendredi 10 avril 2015 sa thèse en arts (arts plastiques) intitulée « Les représentations de la mort dans la création artistique actuelle : histoire, contextualisation, comparaisons », et effectuée sous la direction de Germain ROESZ (professeur à l'université de Strasbourg, membre de l'ACCRA) à l'université de Strasbourg et avec le soutien de l'ACCRA.

     Des informations supplémentaires liées à la thèse peuvent être consultées sur les sites theses.fr ou du SUDOC.

Composition du jury

     Le jury est composé de :

  • Olivier LUSSAC, professeur en esthétique et arts plastiques à l'université de Lorraine (France) - président du jury
  • Daniel PAYOT, professeur en philosophie de l'art à l'université de Strasbourg (France)
  • Jean-François ROBIC, professeur émérite en arts plastiques à l'université de Picardie-Jules Vernes (France) - rapporteur
  • Germain ROESZ, professeur en arts visuels à l'université de Strasbourg (France)

Résumé

     Alors que les individus dans la société contemporaine sont unis non par une propriété mais par un devoir et par une dette, par un manque, par une limite prenant la forme d’une charge pour celui qui en est affecté, la postmodernité rend à la mort et à l’absence toute sa densité. À travers la répétition, entre jubilation et désespérance, les artistes figurent la temporalité de l’épreuve par une écriture qui travaille l’instant. Ils racontent ces évènements infimes qui sont les plus fragiles, les plus précaires, ayant pourtant une forte efficacité. Il s’agira ici d’étudier les nouvelles postures devant l’événement historique, quand l’artiste se tient au plus singulier.

Abstract

     While individuals in contemporary society are united not by property but by a duty and a debt, a lack, by a limit taking the shape of a responsibility for the one who is affected, postmodernism returns to death and absence all its density. Through repetition, between jubilation and despair, the artist represents the temporality of the event. His writing works the moment. He tells these tiny events that are the most fragile, the most precarious, having nevertheless a strong efficiency. This thesis will try to study the new postures in front of the historic event, when the artist stands in the most singular.