Alireza Baghi L'Image publicitaire à travers l'exemple de la publicité automobile : réflexion et analyse à partir d'une pratique personnelle

En bref

Le 23 septembre 2011

(université de Strasbourg)
67000 Strasbourg

Entrée libre

 

     Alireza BAGHI soutient le vendredi 23 septembre 2011 sa thèse en arts visuels (arts plastiques), intitulée « L'état de la création en arts plastiques en Iran depuis la révolution islamique », et effectuée sous la direction de Jean-François ROBIC (professeur à l’Université de Strasbourg, membre de l’ACCRA) à l'université de Strasbourg et avec le soutien de l'ACCRA.

     Des informations supplémentaires liées à la thèse peuvent être consultées sur les sites theses.fr ou du SUDOC.

Composition du jury

     Le jury est composé de :

Résumé

     Depuis la Révolution islamique en 1979, il faut considérer l'art iranien sous tous ses aspects. Multiplicité sans cesse jaillissante, des espaces de création et d’exposition. Et dans ses supports, et dans les matières travaillées. Un engouement pour les nouvelles technologies n'a cessé de proliférer sous le régime des Qâdjâr : photographie, cinéma, imprimerie, journaux et plus tard, la radio et la télévision ont été importés d’Occident comme autant de nouvelles ressources qui ont permis aux arts iraniens de se développer. On n’a jamais vu un Iran aussi varié en termes d’essor culturel qu’aujourd’hui. A son tour Internet œuvre beaucoup pour une reconnaissance identitaire de l’art iranien dans un champ désormais mondialisé. En conséquence les arts plastiques iraniens ont pu rompre avec les influences occidentales premières, et sont entrés de plain-pied sur le terrain parfois réduit, mais souvent libérateur de la mondialisation, et ont gagné une reconnaissance en termes de marketing mais également d'authenticité.

Abstract

     Since the time of the Islamic Revolution, in 1979, it has been impossible to overlook the multiplicity and the strength of Iranian art, its sources, supports and materials, as well as the new areas it offers to creation and events. The keen interest for new technologies, already palpable under the Qajjar dynasty, has never ceased to expand into a variety of fields. Photography, cinema, printing, papers, and later broadcasting and television, first imported from the West, have been turned into new resources for the development of Iranian art. Thanks to the Internet, the art of Iran can now blossom without limits and enjoy worldwide recognition. Subsequently, it has been able to break free from original Western influences, enter the global playground and win full recognition in terms of both marketing approach and authenticity.